Le législateur ordonnanciel a considéré cette remise ou modération proportionnelle pour les immeubles qui sont restés inoccupés pendant au moins 90 jours dans le courant de l'année comme l'un des facteurs qui ont contribué à la spéculation immobilière sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale « avec ses effets néfastes pour les habitants tels que l'augmentation des loyers, la taudisation et l'abandon d'habitat » (Doc., Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale, 1993-1994, A-319/1, p. 1).
Dieser Erlass oder diese proportionale Ermässigung für Wohnungen, die während mindestens neunzig Tagen des Jahres ungenutzt waren, wurde durch den Ordonnanzgeber als einer der Faktoren gewertet, der der Immobilienspekulation auf dem Gebiet der Region Brüssel-Hauptstadt Vorschub geleistet hat, und zwar « mit verhängnisvollen Folgen für die Einwohner, wie z.B. die Mieterhöhungen, den Verfall und den Leerstand der Wohnungen » (Parl. Dok., Rat der Region Brüssel-Hauptstadt, 1993-1994, A-319/1, S. 1).