Cependant, le Conseil n’est pas parvenu, selon le Tribunal, à prouver que les transactions effectuées p
ar la SIIB pour des clients qui disposent également d’un compte auprès de l
a CBS ou de la SLCB comportent le risque particulièrement élevé que l’argent provienne du régime syrien ou de personnes physiques ou morales visées par les mesures restrictives en cause : en effet, la CBS et la SLCB n’ont pas été désignées en raison d’éléments relatifs à leurs clients, mais en raison, pour la première, de son appartenance à l’État syrien et, p
...[+++]our la seconde, de son caractère de filiale de la première.
Nach Auffassung des Gerichts hat der Rat jedoch nicht den Nachweis erbracht, dass bei diesen von der SIIB durchgeführten Transaktionen für Kunden, die auch über ein Konto bei der CBS oder der SLCB verfügen, ein besonders hohes Risiko bestünde, dass das Geld vom syrischen Regime oder von natürlichen oder juristischen Personen stammt, die von den restriktiven Maßnahmen erfasst werden. Die CBS und die SLCB wurden nämlich nicht wegen Vorwürfen im Zusammenhang mit ihren Kunden in die Liste aufgenommen, sondern deshalb, weil die CBS im Eigentum des syrischen Staats steht und die SLCB eine Tochtergesellschaft der CBS ist.