La Commission européenne a également toujours montré sa volonté d’adhérer à cette approche proactive vis-à-vis de la Charte constitutionnelle, comme son ex-président, R. Prodi, l’a souligné au terme de la dernière CIG, dans un message adressé à ses fonctionnaires: «L'inclusion de la Charte des droits fondamentaux dans ce texte, la claire affirmation des valeurs et des objectifs de l'Union ainsi que des principes de base qui régissent les relations entre l'Union et ses États membres, nous permettent d'appeler ce texte de base notre Constitution».
Auch die Kommission wollte sich diesem Vorstoß in Sachen Verfassungsvertrag anschließen, wie ihr ehemaliger Präsident Romano Prodi zum Abschluss der Regierungskonferenz in einem Beitrag an seine Beamten hervorhob: „Nach der Übernahme der Grundrechtecharta in diesen Text, der klaren Bekräftigung der Werte und Ziele der Union sowie der Grundsätze, auf denen die Beziehungen zwischen der Union und ihren Mitgliedstaaten beruhen, können wir diesen Basistext mit Fug und Recht als unsere Verfassung bezeichnen.“