Les parties requérantes considèrent en outre que ces dispositions ne sont pas compatibles avec les articles 10 et 11 de la Constitution, en ce qu'elles créent une différence de traitement injustifiée entre, d'une part, les personnes qui veulent obtenir en Belgique un accès aux données les concernant qui sont traitées dans la « banque de données Schengen » et, d'autre part, les personnes qui veulent obtenir dans d'autres pays un accès aux données les concernant, présentes dans cette banque de données.
Die klagenden Parteien sind überdies der Auffassung, dass diese Bestimmungen nicht vereinbar seien mit den Artikeln 10 und 11 der Verfassung, da durch sie ein nicht gerechtfertigter Behandlungsunterschied eingeführt werde zwischen einerseits den Personen, die in Belgien Zugriff auf die sie betreffenden Daten, die in der « Schengen-Datenbank » verarbeitet würden, erhalten möchten, und andererseits den Personen, die in anderen Ländern Zugriff auf die sie betreffenden Daten in dieser Datenbank erhalten möchten.