La Cour estime, d’autre part, que, s’agissant des motifs pour lesquels le Conseil a considéré que Mme Bamba devait faire l’objet de mesures restrictives, cette institution a identifié les éléments spécifiques et concrets – en termes de fonction exercée à titre professionnel, de groupe d’édition, de journal et de types d’actes et de campagnes de presse visés –, qui traduisaient une implication de l’intéressée dans l’obstruction au processus de paix et de réconciliation en Côte d’Ivoire.
Zum anderen hat der Rat die besonderen und konkreten Gründe genannt, aus denen im Hinblick auf die beruflichen Tätigkeiten, den Verlagskonzern, die Zeitung und die genannten Arten von Handlungen und Kampagnen eine Beteiligung von Frau Bamba an der Blockierung des Friedens- und Aussöhnungsprozesses in Côte d’Ivoire hervorging und aus denen er deshalb zu der Auffassung gelangte, dass gegen sie restriktive Maßnahmen zu verhängen seien.