Ce n'est pas un hasard si ce sont les pays qui comptent le moins d'enfants en situation de pauvreté (les pays scandinaves, l'Autriche, la Slovénie et les Pays-Bas) qui disposent des meilleures politiques sociales en matière d'accès au logement, d'allocations de chômage, d'aides aux jeunes enfants et d'accès à l'éducation et que ce sont les pays qui investissent le moins dans ces mesures, comme la Grèce, l'Italie, le Portugal, la Pologne et l'Espagne, qui affichent les niveaux de pauvreté infantile les plus élevés.
Es ist kein Zufall, dass die Länder, in denen wenige Kinder in Armut leben (die nordischen Länder, Österreich, Slowenien und die Niederlande) diejenigen sind, die ein höheres Niveau der Sozialpolitik in Bezug auf den Zugang zu Wohnraum, Sozialleistungen bei Arbeitslosigkeit, die Unterstützung für die frühe Kindheit und Zugang zur Bildung haben, und in den Ländern, die weniger in diese Maßnahmen investieren – wie Griechenland, Italien, Portugal, Polen und Spanien – die Anzahl der von Armut betroffenen Kinder höher ist.