Les questions linguistiques sont étroitement corrélées aux questions d'intégration sociale, notamment eu égard aux langues des signes et à la reconnaissance du fait qu'il ne s'agit pas seulement de langues réservées aux sourds-muets et à leur famille, ainsi qu'aux compétences linguistiques des populations immigrées, parmi lesquelles l'on privilégie l'apprentissage d'une seconde langue.
Außerdem wurden Sprachenfragen eng mit Fragen der sozialen Eingliederung verknüpft, insbesondere im Hinblick auf die Gebärdensprachen und die Anerkennung der Tatsache, dass sie nicht nur Sprachen für Gehörlose und ihre Angehörigen sind, sowie die Sprachkenntnisse von Zuwanderern, wo großes Gewicht auf das Erlernen einer Zweitsprache gelegt wurde.