En conséquence, un
nombre croissant de centrales électriques (en moyenne 3 à 5 GW par an, soit l’équivalent d’environ dix centrales au charbon) parvient à un âge où les investisseurs peuvent juger plus rationnel
de les mettre hors service plutôt que de consacrer des ressources à leur mise à niveau[15], ce qui donne l’occasion de les remplacer par des solutions à faible intensité de carbone, mais augmente également le risque de nouvel asservissement au carbone si les prix relatifs de l'énergie et du carbone restent à leur niveau actuel
...[+++].
So erreichen immer mehr Kraftwerke (durchschnittlich 3-5 GW pro Jahr, was etwa der Kapazität von 10 Kohlekraftwerken entspricht) ein Alter, in dem es für Investoren günstiger sein kann, sie außer Betrieb zu nehmen, als in eine Modernisierung zu investieren[15]. Dies bietet die Möglichkeit, sie durch Alternativen mit geringen CO2-Emissionen zu ersetzen, birgt aber auch das Risiko eines neuen „Carbon Lock-in“, wenn die relativen Energie- und CO2-Preise auf ihrem heutigen Niveau bleiben.