À la suite de rapports d’ONG faisant état d’abus sexuels présumés de la part du personnel de la MINUL, l’UE s’est entretenue de ce problème avec le représentant spécial des Nations unies, M. Doss, lequel a affirmé qu’une politique de tolérance zéro serait appliquée et que des enquêtes seraient menées pour vérifier le bien-fondé de ces allégations, conformément aux règles de l’ONU.
Nachdem NRO über Aussagen berichteten, dass sich Personal der UNMIL der sexuellen Ausbeutung schuldig gemacht habe, brachte die EU diese Frage beim Sonderbeauftragten der UNO, Alan Doss, zur Sprache, der betonte, es werde in dieser Frage eine Politik der Nulltoleranz verfolgt. Maßnahmen zur Untersuchung der Vorwürfe der sexuellen Ausbeutung entsprechend den Vorschriften der Vereinten Nationen würden ergriffen.