9. exhorte les autorités burundaises à respecter et à défendre les droits de l'homme de l'ensemble de la population burundaise, notamment la liberté d'expression et la liberté de réunion des partisans de l'opposition, à desserrer sans plus attendre l'étau autour des médias, à permettre aux dirigeants de l'opposition en exil de regagner le pays, à libérer sans condition aucune l'ensemble des prisonniers politiques et à mettre un terme au harcèlement dont sont victimes les organisations de la société civile et les défenseurs des droits de l'homme;
9. fordert die staatlichen Stellen Burundis auf, die Grundrechte aller Burundier zu achten und zu schützen – darunter das Recht auf freie Meinungsäußerung und die Versammlungsfreiheit für Anhänger der Opposition –, die Medien unverzüglich zu öffnen, den Oppositionsführern die Rückkehr aus dem Exil zu erlauben, alle politischen Gefangenen freizulassen, ohne dies mit Bedingungen zu verknüpfen, und die Organisationen der Zivilgesellschaft und Menschenrechtsverteidiger nicht länger zu schikanieren;