Concernant le désaccord entre parents, le projet de loi n'a voulu ni de la solution du droit français vu le « risque d'appauvrissement de la diversité des noms de famille », ni de celle du droit luxembourgeois qui laisse « faire le hasard dans une matière d'ordre public, à savoir l'état des personnes » et qui « susciterait la frustration des parents et l'embarras de l'officier de l'état civil », ni du recours aux juridictions afin de « ne pas créer d'incertitude quant au nom de l'enfant au moment où son acte de naissance est dressé » (ibid., pp. 11 et 12).
Bezüglich der Uneinigkeit zwischen Eltern wollte man im Gesetzentwurf weder die Lösung des französischen Rechts angesichts der « Gefahr einer Verarmung der Vielfalt der Familiennamen », noch diejenige des luxemburgischen Rechts, die es « dem Zufall überlässt in einer Angelegenheit der öffentlichen Ordnung, nämlich des Personenstandes », und die « zu Frust bei den Eltern und zu Unbehagen bei den Standesbeamten führen würde », noch die Inanspruchnahme der Gerichte, um « keine Unsicherheit bezüglich des Namens des Kindes zum Zeitpunkt der Erstellung seiner Geburtsurkunde herbeizuführen » (ebenda, SS. 11 und 12).