Ces rapports, que l'on peut difficilement mettre en doute, font état de rassemblement forcé, par des autorités de la République démocratique du Congo, de membres de l'ethnie tutsi, voire de civils d'autres groupes ethniques, qui seraie
nt ensuite détenus, frappés, torturés et parfois exécutés sommairement, ainsi que de propagande ethnique et de diffusion sur les ondes radiophoniques de messages attisant la haine à leur égard ; ils signalent aussi de graves violations des droits de l'homme dont se seraient rendus coupab
les des membres des forces rebelles et autres ...[+++]groupes armés.
So wird glaubwürdig von gewaltsamer Gruppierung, Inhaftierung, Mißhandlung, Folter, ethnischer Propaganda - auch in Haß verbreitenden Rundfunksendungen - sowie in einigen Fällen sogar von standrechtlicher Hinrichtung von Tutsis und möglicherweise von Zivilpersonen anderer ethnischer Gruppen von seiten der Machthaber der Demokratischen Republik Kongo einerseits und von schweren Menschenrechtsverletzungen durch die Rebellen und möglicherweise durch andere Streitkräfte andererseits berichtet.