Des pelouses sèches aux érablières de ravin en passant par les prés de fauche, les chênaies calcicoles, l'imbrication de tous ces habitats contribue à la biodiversité du site. Quelques hectares peuvent encore être identifiés comme du molinion, groupement végétal prairial devenu très rare en Wallonie.
Zahlreiche ineinander verflochtene Lebensräume tragen zur Biodiversität bei: Trockenrasen, Schluchtahornwälder, Mähwiesen, kalkliebende Eichenwälder, .Einige Hektar können noch als Molinion-Flächen identifiziert werden, eine Wiesen-Pflanzengesellschaft, die in der Wallonie sehr selten geworden ist.