Dans les travaux préparatoires relatifs à la disposition en cause, il est observé que, lorsque des infractions sont « commises par des tiers contre l'honneur et la dignité du titre d'architecte [...], l'Ordre n'a pas qualité pour agir et l'intervention de l'autorité judiciaire constitue l'unique moyen de répression possible » (Doc. parl., Sénat, 1961-1962, n° 361, p. 4).
In den Vorarbeiten zu der fraglichen Bestimmung wurde angemerkt, dass in dem Fall, dass Verstöße « durch Drittpersonen gegen die Ehre und die Würde des Architektentitels begangen werden, [...] die Kammer selbst nicht befugt [ist], aufzutreten, und [...] das Einschreiten der Gerichtsbehörde das einzige Mittel [ist], um dagegen anzugehen » (Parl. Dok., Senat, 1961-1962, Nr. 361, S. 4).