Ceci était justifié par la circonstance que l'internement n'est pas une peine. Selon les travaux préparatoires de la loi du 1 juillet 1964 de défense sociale à l'égard des anormaux et des délinquants d'habitude, cette disposition a été fortement critiquée : « En effet, [lorsque le remboursement des frais d'entretien] a lieu à charge des internés la mesure peut les priver de ressources dont ils auraient disposé utilement pour opérer leur reclassement.
Gemäß den Vorarbeiten zum Gesetz vom 1. Juli 1964 zum Schutz der Gesellschaft vor Anormalen und Gewohnheitsstraftätern stieß dies jedoch auf häufige Kritik: « Wenn [die Unterhaltskosten] auf den Internierten entfallen, können sie ihm die Mittel entziehen, über die er sachdienlich verfügt hätte, um an seiner Wiedereingliederung zu arbeiten.