Cinquante ans plus tard, dans son autobiographie, il ne revient toujours pas sur cette déclaration, mais explique simplement ce que tout le monde sait, à savoir qu’au cours de ces années-là, le parti communiste italien et l’ensemble du socialisme européen avaient lié leur sort au bloc socialiste, dirigé par l’URSS.
50 Jahre später, in seiner Autobiografie, nimmt er diese Erklärung nicht zurück, sondern erklärt lediglich, was jeder weiß, nämlich dass die Italienische Kommunistische Partei und der europäische Sozialismus im Ganzen damals untrennbar mit dem Schicksal des von der UdSSR geführten sozialistischen Lagers verbunden waren.