R. considérant que la violation des droits de l'homme fondamentaux par la torture et les mauvais traitements de prisonniers, la privation de sommeil, l'isolement cellulaire, la détention clandestine, l'imposition de peines cruelles, inhumaines et dégradantes, la maltraitance physique y compris la violence sexuelle, et l'impunité pour les agents de l'État restent des pratiques largement répandues,
R. in der Erwägung, dass Verstöße gegen grundlegende Menschenrechte in Form von Folter, Misshandlungen, Schlafentzug, Einzelhaft, geheimen Inhaftierungen, grausamer, unmenschlicher und erniedrigender Behandlung und psychischen Misshandlungen, einschließlich sexueller Gewalt, sowie die Straflosigkeit der dafür verantwortlichen Vertreter des Staates nach wie vor weit verbreitet sind,