L’absence de progrès s’explique principalement par les zones d’ombre entourant la légalisation des sites de logements et des aires d’accueil existants, comme l’illustrent les arrêts de la Cour européenne des droits de l’homme[25], par l’échec de l’établissement d’un véritable dialogue avec les communautés locales autochtones et roms (p. ex. en Bulgarie), par le manque de fonds publics nationaux et le faible recours aux fonds de l’UE disponibles, malgré les orientations de la Commission[26], ainsi que par la nécessité de développer davantage le secteur du logement social dans plusieurs États membres.
Mangelnde Fortschritte sind hauptsächlich auf Folgendes zurückzuführen: Grauzonen bei der Legalisierung bestehender Wohnungen und Lagerplätze, wie aus Urteilen des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte ersichtlich[25]; Nichtzustandekommen eines echten Dialogs zwischen der allgemeinen Gesellschaft und lokalen Romagemeinschaften (z. B. in Bulgarien); Mangel an nationalen öffentlichen Mitteln und zögerliche Inanspruchnahme von verfügbaren EU-Mitteln trotz Anleitung der Kommission[26] sowie einen in mehreren Mitgliedstaaten unterentwickelten sozialen Wohnungsbau.