O. considérant que les dispositions de l'article 2, paragraphe 2 de la convention de Schengen permettent aux États signataires de réintroduire unilatéralement des contrôles intérieurs aux frontières par simple notification préalable aux autres États, et considérant que la France notamment, en raison de son opposition à la politique des Pays-Bas en matière de stupéfiants, maintient son droit d'effectuer des contrôles à la frontière avec la Belgique,
O. in der Erwägung, dass die Beibehaltung des Artikels 2 Absatz 2 des Schengener Übereinkommens es den Mitgliedstaaten erlaubt, mit bloßer vorheriger Unterrichtung der übrigen Staaten einseitig die Kontrollen an den Binnengrenzen wieder einzuführen, und insbesondere Frankreich auf seinem Recht beharrt, die Grenze zu Belgien zu kontrollieren, weil es gegen die niederländische Drogenpolitik ist,