En effet, rien ne justifie que le procès qui oppose un travailleur et un employeur qui ont utilisé le français ou le néerlandais dans leurs relations sociales, conformément à leurs obligations légales, y compris dans la phase contentieuse de ces relations, doive se dérouler dans l'autre langue, en prenant pour critère de localisation le siège social de la société qui emploie le travailleur, alors qu'ils n'y ont pas noué de relations sociales.
Es ist nämlich durch nichts gerechtfertigt, dass ein Verfahren zwischen einem Arbeitnehmer und einem Arbeitgeber, die in ihren sozialen Beziehungen gemäss ihren gesetzlichen Verpflichtungen, einschliesslich der Streitphase dieser Beziehungen, Französisch oder Niederländisch verwendet haben, in der anderen Sprache ablaufen müsste, indem als Standortortkriterium der Gesellschaftssitz des Unternehmens, das den Arbeitnehmer beschäftigt, gewählt würde, obwohl sie dort keine sozialen Beziehungen geknüpft hätten.