Il n’est pas surprenant qu’une catastrophe h
umanitaire survenue pendant la période de Noël ait provoqué une réaction publique aussi vive parmi les Européens, mais il est bon , dans ce débat, d’attirer l’attention sur les urgences négligées qui n’ont pas obtenu la m
ême attention de la part des médias ou du public. C’est le cas de l’Angola, par exemple, où l
’appel de l’ONU n’a récolté que la moitié des 300 millions recherchés, ou du
...[+++]Mozambique où le chiffre est de 12% des 1,6 millions nécessaires, ou de la Zambie où seulement 10% du montant requis ont été récoltés.
Es überrascht nicht, dass eine humanitäre Katastrophe zur Weihnachtszeit eine so große Welle der Hilfsbereitschaft bei den Bürgern in Europa ausgelöst hat. Aber in dieser Debatte sollte auch auf die vergessenen Krisenfälle verwiesen werden, die in den Medien oder der Öffentlichkeit nicht dieselbe Aufmerksamkeit finden. Dazu zählen Angola, wo der Aufruf der UNO lediglich die Hälfte der benötigten 300 Millionen erzielen konnte, oder Mosambik, wo bisher 12 % der lediglich 1,6 Millionen, die benötigt werden, zur Verfügung stehen, oder Sambia, wo nur 10 % der benötigten Summe aufgebracht werden konnten.