Enfin, il résulte de la lecture combinée des articles 1410, § 2, 8°, et 1412 du Code judiciaire que les sommes payées à titre d'aide sociale par le CPAS, qui visent à garantir le droit de chacun à mener une vie conforme à la dignité humaine, ne sont pas saisissables, y compris pour la récupération de créances alimentaires.
Aus der Verbindung der Artikel 1410 § 2 Nr. 8 und 1412 des Gerichtsgesetzbuches ergibt sich schließlich, dass die durch das ÖSHZ als Sozialhilfe gezahlten Beträge, die das Recht eines jeden auf ein menschenwürdiges Leben garantieren sollen, nicht gepfändet werden können, auch nicht zur Beitreibung von Unterhaltsgeld.