La question est remontée jusqu’au Conseil d’État italien qui, à son tour, a demandé à la Cour de justice si la directive « Habitats » autorise l’État concerné à réviser la liste des SIC en se substituant aux régions et si ce pouvoir de révision peut s’exercer non seulement à l’initiative de l’autorité administrative, mais aussi à la demande d’un particulier dont le terrain est inclus dans un SIC.
Die Frage gelangte bis zum italienischen Staatsrat, der seinerseits dem Gerichtshof die Frage gestellt hat, ob die Habitatrichtlinie es dem betreffenden Staat gestattet, die Liste der GGB an Stelle der Regionen neu festzulegen und ob diese Befugnis zur Neufestlegung nicht nur auf Initiative der Verwaltungsbehörde, sondern auch auf Antrag einer Privatperson, deren Grundstück in einem GGB liegt, ausgeübt werden kann.