Le 13 février 1998, l'organe d'appel a adopté son rapport constatant notamment que la Communauté avait fourni "des études générales qui montrent en fait l'existence d'un risque général de cancer, mais que ces études ne concernaient pas essentiellement
ni ne traitaient le type de risque concerné dans cette affaire - le potentiel cancérigène ou génotoxique des résidus d'hormones trouvés dans la viande d'animaux auxquels ces hormones avaient ét
é administrées pour stimuler leur croissance .En d'autres termes, ces études générales sont per
...[+++]tinentes, mais ne semblent pas suffisamment spécifiques par rapport à l'affaire considérée".
Am 13. Februar 1998 wurde der Bericht des Berufungsgremiums angenommen, wonach insbesondere die Gemeinschaft "allgemeine Studien durchgeführt hat, die in der Tat beweisen, daß ein allgemeines Krebsrisiko besteht. Diese Studien befassen sich jedoch nicht mit dem hier zur Debatte stehenden besonderen Gesundheitsrisiko - dem karzinogenen bzw. genotoxischen Potential der Hormonrückstände in Fleisch von Rindern, die mit wachstumsfördernden Hormonen behandelt wurdenMit anderen Worten, diese allgemeinen Studien sind zwar relevant, für den vorliegenden Fall jedoch nicht spezifisch genug".