Plusieurs scénarios examinés visent une réduction de 80 % des émissions de gaz à effet de serre impliquant une diminution de quelque 85 % des émissions de CO2 du secteur énergétique, y compris en provenance des transports[8]. La Commission a également analysé les scénarios et les points de vue des États membres et des parties prenantes[9]. Évidemment, compte tenu de l'éloignement des échéances, ces résultats sont teintés d'incertitude, en grande partie parce qu'ils sont basés sur des hypothèses qui ne sont elles-mêmes pas certaines[10]. Il est impossible de prévoir si un pic pétrolier se produira (car de nouvelles découvertes ont lieu régulièrement), dans quelle mesure le gaz de schiste en Europe s'avérera viable, si la technologie du capta
...[+++]ge et du stockage du carbone (CSC) atteindra une échelle commerciale, quel rôle les États membres souhaiteront jouer dans le domaine du nucléaire et comment l'action en faveur du climat évoluera à travers le monde.Es wurden mehrere Szenarios untersucht[8], bei denen eine Verringerung der Treibhausgasemissionen um 80 % erreicht werden soll, was eine Senkung der energiebezogenen CO2-Emissionen um 85 % (Verkehrssektor eingeschlossen) bedeutet. Darüber hinaus hat die Kommission die Szenarios und Standpunkte von Mitgliedstaaten und beteiligten Akteure analysiert[9]. Aufgrund des langen Zeithorizonts sind diese Ergebnisse natürlich mit Unwägbarkeiten behaftet, nicht zuletzt deshalb, weil sie auf Annahmen beruhen, die ihrerseits nicht sicher sind[10]. Es kann unmöglich vorhergesagt werden, ob das Ölfördermaximum erreicht wird, da wiederholt neue Vorkommen entdeckt wurden, in welchem Umfang Schiefergas in Europa wirtschaftlich sein wird, ob und wann die CCS-
...[+++]Technologie (Carbon Capture and Storage, d. h. die CO2-Abscheidung und ‑Speicherung) kommerziell ausgereift ist, welche Rolle die Kernenergie in den Mitgliedstaaten spielen und wie sich der weltweite Klimaschutz entwickeln wird.