Bien que l'arrêté royal n° 78 précité ne donne pas de définition de ce qu'il y a lieu d'entendre par « exercice de l'art médical », il peut être déduit de l'article 2, § 1, alinéa 2, et § 2, alinéa 3, de cet arrêté -
qui détermine quels actes doivent être consid
érés comme exercice illégal de l'art médical - qu'un acte relève de l'exercice de l'art médical lorsqu'il a notamment pour objet ou lorsqu'il est présenté comme ayant pour objet, à l'égard d'un être humain, entre autres, l'examen de l'état de santé, le dépistage de maladies et
...[+++]de déficiences, l'établissement du diagnostic ou l'instauration ou l'exécution du traitement d'un état pathologique, physique ou psychique, réel ou supposé.Obwohl der obenerwähnte königliche Erlass Nr. 78 keine Definition dessen enthält, was unter « Ausübung der Heilkunde » zu verstehen ist, kann aus Artikel 2 § 1 Absatz 2 und § 2 Absatz 3 dieses Erlasses - der bestimmt, we
lche Handlungen als illegale Ausübung der Heilkunde anzusehen sind - abgeleitet werden, dass eine Handlung zur Ausübung der Heilkunde gehört, wenn sie insbesondere zum Zweck hat oder so dargestellt wird, als habe sie zum Zweck, bei einem Menschen unter anderem den Gesundheitszustand zu untersuchen, Krankheiten und Körperschäden festzustellen, eine Diagnose zu stellen oder die Behandlung eines reellen oder mutmasslichen ph
...[+++]ysischen oder psychischen pathologischen Zustandes einzuleiten oder durchzuführen.