The Supreme Court of Canada suggested, in the M (A) v. Ryan case, which involved psychiatric privilege, that conditions can be placed on the disclosure of evidence: the imposition of conditions — on who may see and copy documents, for instance — to ensure the highest degree of confidentiality and the least damage to the protected solicitor-client relationship while guarding against the injustice of cloaking the truth.
La Cour suprême du Canada a statué, dans la cause M (A) c. Ryan, mettant en jeu le privilège psychiatrique, que des conditions peuvent être imposées à la divulgation de la preuve, des conditions telles que qui peut voir et copier les documents, par exemple, afin d'assurer le plus haut degré de confidentialité et la moindre restriction à la relation protégée entre avocat et client, tout en se prémunissant contre l'injustice consistant à cacher la vérité.