Elle a fondé sa décision sur trois constatations: premièrement, l'Italie s'est acquittée de ses obligations découlant du droit communautaire, puisqu'elle a récupéré auprès de BFM des aides illégales déjà attribuées, ce qui a entraîné la mise en liquidation de cette société; deuxièmement, les actifs de BFM ont été vendus dans le cadre d'une procédure ouverte et transparente, excluant ainsi toute nouvelle aide d'État en faveur de l'acquéreur; enfin, Finmeccanica n'a reçu aucune aide d'État à l'occasion du rachat de BFM.
Sie stützt ihre Entscheidung auf drei Erwägungen: Erstens ist Italien seinen Verpflichtungen aus dem EU-Recht nachgekommen, da es frühere rechtswidrige Beihilfen von BFM zurückgefordert hat, was zur Folge hatte, daß BFM Konkurs anmelden mußte; zweitens wurden die Vermögenswerte von BFM im Rahmen eines offenen, transparenten Verfahrens veräußert, so daß neue staatliche Beihilfen an den Käufer ausgeschlossen werden können; und drittens hat Finmeccanica im Zusammenhang bei dem Erwerb von BFM keine staatliche Beihilfe erhalten.