Ce document constate en effet qu'il est "généralement coûteux pour les Etats membres d'exécuter les mesures d'éloignement de personnes en séjour irrégulier au moyen de vols charters", et que les "Etats membres pourraient dès lors exécuter les retours de manière plus efficace en organisant des opérations de retour communes, le cas échéant en partageant les capacités existantes à bord des vols charters", pour autant que des accords de transit adéquats aient été conclus.
Darin wird festgestellt, dass die „Abschiebung illegal aufhältiger Personen mit Charter-Flugzeugen [...] für die Mitgliedstaaten in der Regel kostspielig“ ist und dass die „Mitgliedstaaten [...] daher die Rückkehr effizienter durchführen [könnten], indem sie gegebenenfalls gemeinsame Aktionen durchführen, um die vorhandenen Kapazitäten bei Charterflügen gemeinsam zu nutzen“, unter der Voraussetzung, dass geeignete Transitregelungen geschaffen werden.