En outre, les parties requérantes affirment que, sachant que le diesel ou l'essence achetés contiennent toujours une fraction de biocarburant (qui n'est pas nécessairement durable), les quotas peu élevés, fixés par les normes CEN EN590 (maximum 7 % d'EMAG par litre de diesel) et CEN EN228 (maximum 5 % de bioéthanol ou 15 % de bio-ETBE par litre d'essence) rendent techniquement impossible ou particulièrement difficile le respect de l'obligation d'incorporation.
Ausserdem führen sie an, dass die geringen Obergrenzen, die durch die CEN-Normen EN590 (maximal 7% FAME je Liter Dieselkraftstoff) und EN228 (maximal 5% Bioethanol oder 15% Bio-ETBE je Liter Benzin) festgelegt würden, die Beimischungsverpflichtung technisch unmöglich oder sehr schwierig machten, wenn man wisse, dass der gekaufte Dieselkraftstoff oder das gekaufte Benzin immer einen Bruchteil (von nicht notwendigerweise nachhaltigem) Biokraftstoff enthalte.