Cela étant dit, nous ne pouvons pas ignorer le fait que, par le recours au prétexte de la «liberté de circ
ulation», on est en train de mettre en place un système d’information et des bases de données allant bien au-delà de cet objectif, car on fait de ceux-ci un des principaux instruments de so
utien (ou encore la «colonne vertébrale») de l’offensive sécuritaire (menée par l’Union européenne) et de la «communautarisation» progressive de la justice et des affaires intérieures, domaines qui se trouvent au cœur de la souveraineté des État
...[+++]s membres.
Dennoch können wir nicht die Tatsache außer Acht lassen, dass unter dem Vorwand der „Freizügigkeit“ ein Informationssystem und Datenbanken eingerichtet werden, die weit über dieses Ziel hinausgehen und diese zu einem der zentralen Instrumente (oder „Rückgrat“) zur Unterstützung der (von der EU angeführten) Sicherheitsoffensive und zunehmenden „Vergemeinschaftung“ der Bereiche Justiz und Inneres machen, Bereiche, die der Souveränität der Mitgliedstaat unterliegen.