– (EN) Monsieur le Président, si je devais me fix
er pour objectif de concevoir le système d’aide à l’agriculture le plus coûteux, le plus dispendieux, le plus corrompu, le plus immoral et le plus bureaucratique possible, je ne pense pas que je pourrais concevoir un régime aussi ingénieux que la politique a
gricole commune, un système qui nous pénalise en tant que contribuables pour subsidier la production de denrées alimentaires pour lesquelles il n’existe aucun marché et qui nous pénalise une deuxième fois, en tant que consommateurs,
...[+++]afin d’en soutenir les prix.
– Herr Präsident! Wenn ich das teuerste, verschwenderischste, korrupteste, unmoralischste, bürokratischste System der Landwirtschaftsunterstützung hätte entwerfen sollen, das ich mir vorstellen kann, dann weiß ich nicht, ob ich auf etwas so Geniales wie die Gemeinsame Agrarpolitik gekommen wäre – ein System, das uns als Steuerzahler damit bestraft, die Produktion von Nahrungsmitteln zu subventionieren, für die es keinen Markt gibt, und das uns dann als Verbraucher noch einmal bestraft, indem wir die Preise dafür stützen müssen.