Un peu comme à l’époque de l’inquisition espagnole, cet abattage n’a pas été perpétré par crainte des politiques que le commissaire Buttiglione pourrait mener, mais par peur que, au plus profond de lui-même, il n’ait des convictions intimes qui aillent à l’encontre de cet effroyable politiquement correct.
Ähnlich wie bei der spanischen Inquisition lag der Grund nicht in der Politik, die Herr Buttiglione als Kommissar möglicherweise verfolgt hätte, sondern in der Frage, ob er in seinem tiefsten Inneren nicht wohl Überzeugungen nachhängen würde, die im Widerspruch zu dieser schrecklichen politischen Korrektheit stünden.