Si on accepte cette logique, l’agriculteur qui dépasse son quota de production de lait de vache, attentif aux intérêts financiers de la Communauté, est lourdement pénalisé, alors que l’industriel qui met sur le marché des produits laitiers qui ne sont pas fabriqués avec du lait ne serait pas pénalisé, bien qu’il porte bien plus atteinte aux intérêts financiers de la Communauté.
Wenn man bei diesem Ansatz bleibt, dann werden Landwirte, die ihre Quoten bei der Kuhmilchproduktion überschreiten, zur Wahrung der finanziellen Interessen der Gemeinschaft bestraft werden, wohingegen Industriekonzerne, die Milcherzeugnisse auf den Markt bringen, die nicht aus Milch hergestellt werden, straffrei bleiben, obgleich sie den finanziellen Interessen der Gemeinschaft einen größeren Schaden zufügen.