Ces chiffres contrastent fortement avec ceux de la Bulgarie, par exemple, où l’amende maximale par migrant en situation irrégulière est 24,2 fois plus élevée que le salaire mensuel minimal, et avec ceux de la République tchèque, où le montant global de l’amende maximale infligée à une personne physique est 584 fois plus élevé que le salaire mensuel minimal[19].
Diese Zahlen stehen in krassem Gegensatz zu BG, wo der Geldbußenhöchstbetrag pro irregulärem Migranten 24,2 Mal so hoch wie der monatliche Mindestlohn ist, und zu CZ mit einem Geldbußenhöchstbetrag, der für eine natürliche Person 584 Mal so hoch ist wie der monatliche Mindestlohn[19].