Toutefois, rien, ni dans les travaux préparatoires, ni dans l'argumentation du Conseil des ministres, ne permet de comprendre en quoi la nationalité de l'époux rejoint serait un critère pertinent pour justifier, au regard de ces objectifs légitimes, la différence de traitement en cause.
Nichts, weder in den Vorarbeiten, noch in der Argumentation des Ministerrates, ermöglicht es jedoch zu verstehen, inwiefern die Staatsangehörigkeit des Ehepartners, dem man nachkommt, ein sachdienliches Kriterium wäre, um hinsichtlich dieser rechtmäßigen Ziele den fraglichen Behandlungsunterschied zu rechtfertigen.