En outre, ils ont refusé aux présidents du Sénat et du Congrès l’accès à la présidence, alors que, d’un point de vue constitutionnel, ils auraient dû succéder à M. Mesa après sa démission, et ont contraint le président de la Cour suprême, le troisième dans l’ordre de succession, à devenir chef de l’État, mais seulement pour que des élections générales puissent être organisées dans les trois mois.
Darüber hinaus verweigerten sie den Präsidenten des Senats und des Kongresses den Zugang zum Präsidentenamt, obwohl diese nach der Verfassung die Nachfolger eines zurückgetretenen Herrn Mesa sein müssten, und zwangen den Präsidenten des Obersten Gerichtshofs, den dritten in der Reihe der Nachfolge, die Staatsführung zu übernehmen, aber nur, um in drei Monaten allgemeine Wahlen ausrufen zu können.