Les ressortissants de pays tiers qui sont victimes de traite, mais qui ne disposent pas du statut légal de résident dans l’Union, ne devraient pas être exclus de cette protection[xii], notamment s’ils ont coopéré avec les autorités compétentes des États membres en témoignant contre leurs trafiquants.
Drittstaatsangehörige, die Opfer von Menschenhändlern sind, aber keine Aufenthaltsberechtigung in der EU haben, sollten von diesem Schutz nicht ausgeschlossen werden[xii], und zwar insbesondere dann nicht, wenn sie mit den zuständigen Behörden der Mitgliedstaaten zusammenarbeiten und gegen die Menschenhändler aussagen.