Des organisations internationales comme l’OIE ou la Banque mondiale considèrent la santé animale comme un bien public mondial. Pour l’UE, le maintien de «services de santé animale» [7] conformes aux normes internationales (du point de vue de la législation, de l’organisation, des ressources, des capacités, du rôle du secteur privé et du personnel auxiliaire) constitue un objectif minimal.
Internationale Organisationen wie das OIE und die Weltbank halten die Tiergesundheit für ein globales Kollektivgut. Die EU betrachtet die Arbeit von „Tiergesundheitsdiensten” [7] nach internationalen Standards (was Rechtsvorschriften, Aufbau, Organisation, Ressourcen, Kapazitäten, die Rolle des privaten Sektors und Hilfsberufe anbelangt) als Mindestziel.