Ces méthodes différentes de calcul ont néanmoins permis de dresser un tableau clair d
e la situation: les chantiers tels que Hyundai (HHI), Hanjin (HHIC) et Samsung (SHI), qui n'ont pas bénéficié d'un rééchelonnement de la dette de grande envergure e
t qui utilisent des équipements relativement "anciens", enregistrent des coûts de production (légèrement) plus élevés en prenant la méthodologie basée sur la dette, alors que les chantiers comme Daewoo (DSME) et Daedong, qui ont profité de réductions de la dette et de moratoires mais qui ut
...[+++]ilisent des équipements relativement "neufs" enregistrent des coûts de production légèrement plus élevés dans le cadre de la méthodologie basée sur la dépréciation.
Dennoch ergaben diese Alternativberechnungen ein klares Bild: Werften wie Hyundai (HHI), Hanjin (HHIC) und Samsung (SHI), die noch nicht von umfangreichen Umschuldungen profitieren konnten und die vergleichsweise ,alte" Anlagen betreiben, weisen (leicht) höhere Produktionskosten aus, wenn auf Schuldenbasis gerechnet wird, wohingegen Werften wie Daewoo (DSME) und Daedong, denen Schulden erlassen und gestundet wurden, die allerdings vergleichsweise ,neue" Anlagen betreiben, (leicht) höhere Produktionskosten aufweisen, wenn der Analyse die Abschreibungen zugrunde gelegt werden.