En premier lieu, il y a lieu d'examiner si et dans quelle mesure les limitations actuelles de la directive concernant l'assistance mutuelle [14] entravent l'échange d'informations et font obstacle à la détection des structures complexes, telles que celles utilisés dans le cas de Parmalat, et, dans l'affirmative, s'il serait souhaitable de les modifier, à tout le moins dans la mesure où elles se rapportent à la fiscalité des sociétés.
Erstens muss geprüft werden, ob die bestehenden Einschränkungen der Richtlinie über die gegenseitige Amtshilfe ( [14]) den Auskunftsaustausch beeinträchtigen und die Aufdeckung komplexer Strukturen, wie sie z. B. im Fall von Parmalat anzutreffen waren, behindern, und, falls ja, ob es angebracht wäre, sie abzuändern, zumindest soweit die Körperschaftsbesteuerung von ihnen betroffen ist.