3. considère que le langage de la déclaration de Doha est clair et dénué d'ambiguïté et que la question de savoir ce qui constitue un motif d'accorder une licence obligatoire n'appelle pas d'interprétation supplémentaire, que ce soit par le biais d'une liste ou par celui d'un mécanisme d'approbation extérieure; estime par ailleurs que toute allégation de mésusage des dispositions de l'accord sur les ADPIC devrait faire l'objet de la procédure de règlement des différends prévue spécialement;
3. ist der Ansicht, dass die Formulierung der Erklärung von Doha eindeutig und unmissverständlich ist und die Frage, was Gründe für die Erteilung von Zwangslizenzen sind oder nicht sind, keiner weiteren Interpretation bedarf, und zwar weder mittels einer „genehmigten Liste“ noch durch irgendeinen externen Genehmigungsmechanismus; ist ferner der Auffassung, dass jeder angebliche Missbrauch der TRIPS-Bestimmungen im Rahmen der einschlägigen Streitbeilegungsverfahren behandelt werden sollte;