Mesdames et Messieurs, il s’agit de mettre en commun la zone supérieure de l’espace aérien, de la gérer en commun - comme le disait il y a un instant un intervenant -, en oubliant les frontières dans cette zone supérieure de l’espace aérien ; en cessant de parler d’espace aérien britannique, espagnol, français ou suédois, et en parlant simplement d’espace aérien européen dans cette zone supérieure, e
t en deçà de 29 500 pieds, sur les 31 000 pieds, il faudra spécifier dans quelles zones, il faudra pratiquer une gestion nationale posan
t d’autres types de problèmes et où l’u ...[+++]sage militaire est plus évident.
Es geht darum, den oberen Bereich des Luftraums gemeinsam zu nutzen und zu bewirtschaften – wie soeben ein Redner sagte –, die Grenzen in diesem Luftraum zu vergessen, nicht mehr vom britischen, spanischen, französischen oder schwedischen Luftraum sondern in diesem oberen Bereich einfach vom europäischen Luftraum zu sprechen, während unterhalb von 29 500 Fuß, von 31 000 Fuß die Bereiche der nationalen Bewirtschaftung festgelegt werden müssen, denn hier stellen sich die Probleme anders dar, und die militärische Verwendung ist eindeutiger abgesteckt.