Ainsi qu'il ressort également de la réponse de la Cour de justice aux questions posées par la Cour par son arrêt n° 15/2015, en adoptant l'article 36/24, § 1, alinéa 1, 3°, de la loi du 22 février 1998, qui habilite le Roi à
mettre en place un système de garantie au profit des associés personnes physiques des sociétés coopératives agréées actives dans le secteur financier, le législateur a pris, en faveur de ces catégories de personnes et des sociétés dans lesquelles ces personnes détiennent des parts, une mesure qui, contrairement à ce que les sociétés coopératives « Arcopar », « Arcoplus » et « Arcofin » ont fait valoir, ne peut être justif
iée comme ...[+++]ayant été prise en exécution de la directive 94/19/CE du Parlement européen et du Conseil du 30 mai 1994 relative aux systèmes de garantie des dépôts.Wie unter anderem aus der Antwort des Europäischen Gerichtshofes auf die im Entscheid Nr. 15/2015 des Gerichtshofes gestellten Fragen hervorgeht, hat der Gesetzgeber mit dem fraglichen Artikel 36/24 § 1 Absatz 1 Nr. 3 des Gesetzes vom 22. Februar
1998, insofern der König dadurch ermächtigt wird, eine Garantieregelung zugunsten der natürlichen Personen, die Gesellschafter der im Finanzsektor tätigen zugelassenen Genossenschaften sind, zugunsten dieser Kategorie von Personen und dieser Gesellschaften, an denen sie beteiligt waren, einzuführen, eine Maßnahme ergriffen, die im Gegensatz zu dem, was die Genossenschaften « Arcopar », « Arcopl
...[+++]us » und « Arcofin » angeführt haben, nicht gerechtfertigt werden kann als eine Maßnahme, die in Ausführung der Richtlinie 94/19/EG des Europäischen Parlaments und des Rates vom 30. Mai 1994 über Einlagensicherungssysteme ergriffen worden wäre.