21. rappelle l'importance d'une politique salariale progressive destinée à relancer la demande interne, à promouvoir l'insertion sociale et à lutter contre les inégalités en matière de revenus; déplore que la politique de l'UE considère les salaires comme un coût et non comme un élément du revenu national qui, au travers des dépenses, pourrait soutenir la croissance économique et celle de l'emploi; déplore, dans ce contexte, que la modération salariale reste l'un des objectifs des lignes directrices intégrées conformément à la politique de stabilité des prix de la BCE, définie par référence à un objectif d'inflation;
21. verweist auf die Bedeutung einer progressiven Lohnpolitik zur Ankurbelung der Binnennachfrage, zur Förderung der sozialen Eingliederung und zur Bekämpfung der ungleichen Einkommensverteilung; bedauert, dass in der EU-Politik Löhne als Kostenfaktor und nicht als Bestandteil des Nationaleinkommens gelten, der durch Konsumausgaben zum Wirtschaftswachstum und zur Schaffung von Arbeitsplätzen beitragen könnte; bedauert in diesem Zusammenhang, dass Lohnzurückhaltung im Einklang mit der auf Inflationsvermeidung ausgerichteten Preisstabilitätspolitik der EZB immer noch eines der Ziele der integrierten Leitlinien ist;