La loi du 22 novembre 2013 tend à remédier à ce problème : « Le projet de loi vise essentiellement à étendre aux créances contestées faisant l'objet d'une procédure judiciaire ou d'arbitrage, la protection offerte aux créanciers en cas de réduction de capital ainsi qu'en cas de fusion, de scission ou d'opération assimilée.
Das Gesetz vom 22. November 2013 bezweckt, dieses Problem zu lösen: « Das Hauptziel des Gesetzentwurfs besteht darin, den Schutz, der den Gläubigern bei einer Kapitalherabsetzung sowie bei Fusionen und Aufspaltungen sowie verwandten Verrichtungen geboten wird, auf unangefochtene Forderungen auszudehnen, die Gegenstand eines Gerichts- oder Schiedsverfahrens sind.