En particulier, M Patriciello aurait joué le rôle de metteur en scène, de contrôleur et de promoteur des actes posés par le président de Neuromed et par le représentant légal de la Fondation Paola Pavone, qui, le 11 septembre 2000, ont signé un contrat pour la libre utilisation de l'institut "incriminé", situé dans la commune de Salcito, entre la Fondation Paola Pavo
ne (propriétaire et constructrice de l'immeuble en question) et Neuromed, afin de permettre à ce dernier établissement d'aide et de recherche "de gérer à son profit comme "centre de pointe en matière de réhabilitation" sous un régime d'accréditation (provisoire) avec la régio
...[+++]n, à l'exclusion de toute prestation sociale et d'assistance"; en outre, l'établissement en question aurait déjà "réalisé notamment grâce à l'octroi par la région d'un financement solide (1 400 000 000 LIT) lié au fonctionnement de cette structure (également) comme structure socio-sanitaire d'aide" et il serait géré "comme une entreprise privée et selon un système clientéliste, tendant par ailleurs, à travers l'"induit" inévitablement lié au fonctionnement d'une telle structure (engagement de personnel, affaires pour des commerces locaux, prestations et firmes diverses, etc.), à obtenir et/ou à consolider le consensus politique, surtout au niveau local, et à détourner le financement déjà obtenu en l'affectant dès lors à des finalités bien différentes et tout à fait incompatibles avec celles pour lesquelles celui-ci avait été octroyé".Insbesondere wurde Herr Patriciello beschuldigt, bei der Leitung, Prüfung und Befürwortung der Tätigkeiten des Präsidenten von Neuromed und des rechtlichen Vertreters der Paola-Pavone-Stiftung eine Rolle gespielt zu haben, die am 11. September 2000 einen Gebrauchsleihvertrag über das in der Gemeinde Salcito gelegene „inkriminierte“ Gebäude zwischen der Paola-Pavone-Stiftung (
Eigentümerin und Erbauerin der fraglichen Immobilie) und Neuromed zu dem Zweck schlossen, letzterem Hilfs- und Forschungsinstitut zu ermöglichen, das fragliche Gebäude „aufgrund einer (vorläufigen) Akkreditierung durch die Region unter Ausschluss jeglicher Sozial- u
...[+++]nd Fürsorgeleistung als Rehabilitationszentrum zum eigenen Vorteil zu betreiben“; Das Gebäude bestand darüber hinaus bereits auch dank der Zahlung einer stattlichen regionalen Finanzierung (in Höhe von 1 400 000 000 Lire), die mit seinem Betrieb (auch) als Gesundheits- und Sozialfürsorgegebäude verknüpft war“ und gewährleistete einen privatwirtschaftlichen und kundenbezogenen Betrieb, der durch die mit dem Betrieb der Einrichtung unweigerlich verbundenen Auswirkungen (Einstellungen, geschäftliche Angelegenheiten, Geschäftsbetrieb und „Sonstiges“ usw.) auch auf die Erreichung und/oder Festigung des politischen Konsenses, vor allem auf lokaler Ebene, ausgerichtet war, und darauf, die bereits erlangte Finanzierung zu veruntreuen, .wobei man diese folglich zu sehr unterschiedlichen Zwecken, die mit den bei ihrer Gewährung vorgesehenen Zwecken völlig unvereinbar sind, einsetzte.