On peut s’interroger d’autant plus sur la validité de l’argument commercial de la Commission, du fait qu’entre-temps les États-Unis, eux-mêmes, ont décidé récemment dans le cadre de leur Cat and Dog Fur Act , de voter des lois dont la motivation ne repose que sur la protection animale et sur la sensibilité morale de la population.
Umso fraglicher ist es, ob das Handelsargument der Kommission überhaupt zum Tragen käme, da mittlerweile die Vereinigten Staaten selbst vor wenigen Monaten in ihrem Cat and Dog Fur Act beschlossen, Gesetze zu verabschieden, die lediglich auf dem Tierschutz und auf dem moralischem Empfinden der Bevölkerung basieren.