« [d']encourager la nouvelle formation de capital, notamment pour les PME qui, en constituant un patrimoine propre, augmentent également leur solvabilité. Autrefois, le taux d'imposition en ce qui concerne les bonis de liquidation était de 48 % sur les réserves imposables et de 24 % sur les plus-values latentes. Depuis 1983, le taux d'imposition a été ramené à 25 % en moyenne. Une entreprise ne devrait pas détenir des réserves pendant plusieurs années pour des raisons fiscales. Ce n'est de toute façon pas une bonne stratégie fiscale » (Doc. parl., Chambre, 2012-2013, DOC 53-2853/014, p. 8).
« neue Kapitalbildung, insbesondere für die KMBs, die durch den Aufbau eines eigenen Vermögens auch ihre Kreditwürdigkeit erhöhen, zu begünstigen. Früher betrug der Steuersatz bei Liquidationsüberschüssen 48 % auf die besteuerten Rücklagen und 24 % auf die latenten Mehrwerte. Seit 1983 wurde der Steuersatz auf durchschnittlich 25 % herabgesetzt. Ein Unternehmen soll nicht während vieler Jahre Rücklagen aus steuerlichen Gründen beibehalten. Dies ist ohnehin keine gute Steuerstrategie » (Parl. Dok., Kammer, 2012-2013, DOC 53-2853/014, S. 8).