La Cour est interrogée sur la compatibilité de ces dispositions avec les articles 10 et 11 de la Constitution en ce qu'elles impliquent que l'article 1471 ancien du Code civil est applicable aux époux qui avaient adopté, avant l'entrée en vigueur de la loi du 14 juillet 1976, le régime conventionnel de la séparation de biens comportant une société d'acquêts, « avec pour conséquence que, pour le partage de la communauté, la femme divorcée bénéficie d'une préférence pour exercer ses prélèvements avant ceux du mari alors que l'homme divorcé ne jouit pas du même privilège ».
Der Gerichtshof wird gefragt, ob diese Bestimmungen mit den Artikeln 10 und 11 der Verfassung vereinbar seien, insofern sie beinhalten würden, dass der frühere Artikel 1471 des Zivilgesetzbuches auf Eheleute Anwendung finde, die vor dem Inkrafttreten des Gesetzes vom 14. Juli 1976 den vertraglichen Güterstand der Gütertrennung mit Errungenschaftsgemeinschaft angenommen hätten, « was dazu führt, dass bei der Verteilung der Gemeinschaft die geschiedene Ehefrau einen Vorzug genießt bei der Ausübung ihrer Vorwegnahmen, vor denjenigen ihres Ehemannes, während der geschiedene Ehemann nicht dasselbe Vorrecht genießt ».